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Le pendant naturel du dépourvu ou la cloche de la déchéance

 Le pendant naturel du dépourvu ou la cloche de la déchéance, pourrait-on s’insurger, lorsque constatant la disjonction s’adjoindre à la rupture, aux fins d’une substitution avérée des règles primo définies, pour mener de fronde, une lutte, une bataille et un combat, je me ressasse sans incombes, l’esprit et me voile le pruneau, afin de me faire un créneau de dissipation, des lanternes de la déconvenue, pour que vaille le sursaut désiré, que naisse une analyse saine au service du pragmatisme et que jaillisse finalement l’avenue somptueuse du talent immergé et élagué entre crispation et euphémisme. 

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