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Avengers : le blockbuster de Marvel sur nos écrans

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[image:1,l]Héritier de la digne lignée des adaptations cinématographiques de la maison d’édition Marvel, Avengers constitue le « cross-over » par excellence. Les fans de super-héros se réjouiront de voir à l’écran le bouclier de Captain America, combattre aux côtés de la technologie Stark, d’Iron Man, de croiser le marteau de Thor ou encore de la puissance de l’Incroyable Hulk. Dans les salles obscures à partir du mercredi 25 avril, ce nouvel opus réserve bien des surprises aux amateurs du genre.

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Le « cross-over », tout un art 

Réaliser un  « cross-over », autrement dit une rencontre de différents personnages de « comics » au sein d’une même histoire, est un pari risqué. Cependant, la maison Marvel possède une certaine expérience dans ce domaine (JLA/Avengers: Marvel Comics versus DC Comics, autre poids lourd américain du comics), et s’amuse régulièrement à unir ou voir s’affronter ses héros. La « réunion de famille »  qui a inspiré « Avengers », est une formule bien connue dans l’univers des comics. Elle a déjà fait l’objet de plusieurs publications, dont la première parution de « Vengeurs » (le nom en français) date de septembre 1963 (trois ans après la Justice League of America de DC Comics). L’équipe comptait d’ores et déjà dans ses rangs Iron ManThor et Hulk.

Les héros de Marvel à l’écran

Le film tant attendu rassemble à nouveau la fine équipe de super-héros. Des personnages que l’on a pu découvrir ces dernières années au cinéma, à commencer par l’Incroyable Hulk, en 2003. Vous savez, Bruce Banner, ce discret scientifique qui a une fâcheuse tendance à s’énerver… En 2008, « Iron Man » alias Tony Stark, alias Robert Downey Jr, l’acteur américain dans le monde réel, crève littéralement l’écran. Le milliardaire mondain, séducteur, fan de technologie de pointe charme les fans. En 2011, coup double pour les studios Marvel : en avril, Thor, interprété par le divin Chris Hemsworth, chute du Royaume d’Asgard directement dans nos salles obscures, suivi quelques mois plus tard de « Captain America » alias Steve Rogers, « le super soldat de la seconde Guerre Mondiale ». Porté à l’écran par Chris Evans, le héros patriotique est cryogénisé pendant 70 ans, après une chute dans les eaux arctiques.

Suivez les indices 

Et si la maison Marvel préparait discrètement l’arrivée de « Avengers » à l’écran, depuis plusieurs années ? Sans tomber dans la théorie du complot, propre à l’univers de super-héros, un œil aguerri percevrait facilement les allusions, glissées çà et là, dans les différents longs-métrages. Ainsi, le père de Tony Stark  fait une apparition dans « Captain America », les spectateurs ont pu apercevoir Tony dans Hulk, et Nick Fury (Samuel L. Jackson), à la tête de la ligue des « Vengeurs », existe dans l’ensemble des adaptations cinématographiques.

Un synopsis épique qui décoiffe

Les « Avengers » seront réunis par leur mentor, Nick Fury (interprété par Samuel L. Jackson) le directeur du S.H.I.E.L.D, pour faire face au retour de Loki, frère de Thor, divinité animée par la haine et soutenu par des puissances maléfiques. Il détient en sa possession l’objet de toutes les convoitises : « le cube cosmique » une matrice qui fournit une énergie illimitée et accorde des pouvoirs extraordinaires à son détenteur. 

Sans surprises, le bien affronte le mal pour « préserver la paix mondiale », une tâche monumentale qui nécessite bien cette équipe de choc.

Rassemblement de surhommes oblige, frictions, étincelles et de combats tous plus spectaculaires les uns que les autres, ne manqueront pas à l’appel. Les héros sur-vitaminés devront apprendre à travailler ensemble et non les uns contre les autres. Tout un programme, pour la « dream team » de Marvel, qui ravira les amateurs du genre dès le 25 avril, sur les écrans.

 

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