Site icon La Revue Internationale

L’eau du Nil, une ressource vitale et précieuse

La pénurie d’eau frappe l’Éthiopie chaque jour un peu plus sévèrement. Malgré la raréfaction de cette ressource, l’Égypte et le Soudan ne semblent pas vouloir transiger sur la redistribution des eaux du Nil.

Pourtant, entre les pays qui se situent en amont du fleuve et ceux en aval, un véritable déséquilibre en terme d’approvisionnement subsiste. La polémique autour de la gestion des flux du Nil est d’autant plus vive depuis que l’Éthiopie est devenue un pays enclavé, à la suite de la sécession de l’Érythrée. Aujourd’hui, l’Éthiopie manque cruellement de cette matière première. 

 

[image:1,l]Des agriculteurs originaires du village de Marawi en Éthiopie, voguent sur le « Nil bleu ».

[image:2,l]Manichey Albi, agriculteur de Marawi, traverse son champs, totalement sec et aride, afin de regagner son domicile.

[image:3,l]Dîner frugal pour la famille de Manichey Albi. Aux fournaux traditionnels, mère et fille s’activent.

[image:4,l]À Marawi, le barrage Koka permet de redistribuer l’eau de pluie, une ressource capitale pour la culture vivrière.

[image:5,l]Les agriculteurs de Marawi interrompent leur journée de travail pour une courte pause, sur les berges du barrage Koka.

[image:12,l]L’agriculteur de Marawi, Manichey Albi pratique une culture vivrière et possède quelques têtes de bétail, biens précieux pour subvenir aux besoins de ses cinq enfants.

[image:6,l]Manichey Albi donne à boire à l’un de ses plus jeunes fils. L’eau potable provient majoritairement du réseau de distribution Koka. 

[image:7,l]Le plus âgé des fils de Manichey Albi, dort à côté de la récolte d’orge dans la hutte familiale. Six membres de la famille vivent dans cette pièce minuscule.

[image:8,l]Un agriculteur du nord de Bahar Dar, puise l’eau au niveau du barrage de Koka pour irriguer ses cultures.

[image:9,l]Dans le nord de Bahar Dar aussi, le sécheresse sévit, plus dure que jamais.

[image:10,l]L’eau du Nil, une ressource vitale et indispensable aussi bien pour les cultures que pour les gestes du quotidien.

[image:11,l]Une traversée du Nil en fin de journée.

Global Post/Adaptation Marie Pichereau-JOL Press

Quitter la version mobile