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Les temps forts de la campagne présidentielle

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Le grand oral de François Hollande

Le 22 janvier 2012, devant les militants socialistes réunis à l’occasion du meeting au Bourget, en région parisienne, François Hollande donne le coup d’envoi de sa campagne. « Aujourd’hui, c’est moi qui vous représente, c’est moi qui porte votre espoir, c’est moi qui porte l’obligation de gagner », lance le candidat socialiste. 

 

François Hollande enfariné

Le 1er février, François Hollande s’apprête à signer le contrat social de la fondation Abbé Pierre, quand une femme lui jette de la farine au visage. L’auteur de cet « acte isolé », Claire Seguin, avait déjà perturbé la matinale de France Inter, en direct de Lille avec Martine Aubry, en décembre 2011. Elle est admise, dans la foulée, à l’infirmerie psychiatrique de la préfecture de police de Paris.

Nicolas Sarkozy se déclare candidat

C’est sur le plateau de TF1 que Nicolas Sarkozy annonce officiellement, mercredi 15 février, qu’il brigue un second mandat. « Je serai président et candidat pour que cette campagne soit utile aux Français », explique-t-il.

 

Le face-à-face : Marine le Pen versus Jean-Luc Mélenchon

Le 23 février, invitée de l’émission « Des Paroles et des actes » sur France 2Marine Le Pen refuse de débattre avec Jean-Luc Mélenchon. Elle préfère trier ses papiers et…lire le journal.

Nicolas Sarkozy chahuté à Bayonne

En déplacement à Bayonne, Nicolas Sarkozy est chahuté par des dizaines d’indépendantistes basques, à son arrivée dans le centre-ville, le 1er mars. Hué et bousculé, il se réfugie dans une charcuterie. 

Nicolas Sarkozy envisage sa reconversion

Le 8 mars, sur RMC, Nicolas Sarkozy annonce, pour la première fois publiquement, qu’en cas d’échec, il renoncera à la vie politique.

Jean-Luc Mélenchon reprend la Bastille

Le 18 marsJean-Luc Mélenchon réunit plusieurs dizaines de milliers de personnes, place de la Bastille. En direction de la foule venue l’écouter, le candidat du Front de Gauche promet, solennel, de « faire de cette élection une insurrection civique ».

Nicolas Sarkozy rend hommage aux victimes de Mohamed Merah

Le 21 mars, dans la cour de la caserne du 17ème Régiment de Génie Parachutistes (RGP) de MontaubanNicolas Sarkozy rend hommage aux trois parachutistes assassinés les 11 et 15 mars par Mohamed Merah« La police, la gendarmerie, la justice, grâce à leur travail, sont parvenues à identifier le tueur présumé qui, à l’heure où je vous parle, est encerclé par les forces de l’ordre […] Cet homme voulait mettre la République à genoux, la République n’a pas cédé, la République n’a pas reculé, la République n’a pas faibli » résume le président-candidat.

Philippe Poutou crève l’écran

Le 11 avrilPhilippe Poutou, le « petit » candidat du NPA, fait un passage remarqué dans l’émission « Des paroles et des actes » de Fr2« Je ne veux pas faire une carrière politique. Ça surprend, surtout par rapport aux autres… Olivier Besancenot n’a pas voulu continuer il m’a dit : « ben tiens, fais-le, tu vas te faire chier toi aussi, à ton tour…», révèle-t-il, hilare. 

Marine Le Pen arrive troisième du 1er tour

Le 22 avril, Marine Le Pen devient « le troisième homme » de la campagne. Dans un discours donné salle Équinoxe, la candidate du Front National, qui talonne François Hollande et Nicolas Sarkozy avec ses18,01%  de voix, se réjouit que la « vague bleue Marine [ait] fait trembler le système ».

Les derniers meetings de François Hollande et Nicolas Sarkozy

Le 29 avril, une semaine avant le second tour, François Hollande et Nicolas Sarkozy tiennent respectivement un meeting. À Paris-Bercy, pour le premier, à Toulouse pour le second.

Nicolas Sarkozy et François Hollande croisent le fer

Le 2 mai, Nicolas Sarkozy et François Hollande se retrouvent pour un débat télévisé dominé, selon les sondages, par le candidat socialiste.

François Bayrou choisit François Hollande

Le 3 maiFrançois Bayrou, président du Modem annonce qu’il votera, à titre personnel, pour François Hollande. Le centriste qui dénonce « l’obsession de l’immigration dans un pays comme la France, au point de présenter dans son clip de campagne un panneau « Douane » écrit en Français et en Arabe », regrette la ligne « violente » choisie par « Nicolas Sarkozy entre les deux tours ». 

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