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La boisson miracle anti-vieillissement de la NASA

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Une boisson pour astronautes

La boisson AS10 a été, à l’origine, mise au point pour permettre aux astronautes de faire face aux fortes radiations présentes hors de l’atmosphère terrestre. Une étude montre qu’elle réduirait par la même occasion les signes de l’âge. Grâce aux grandes quantités d’antioxydants présentes dans cette boisson, le stress oxydatif de la peau serait stoppé (ses constituants ne « s’oxyderaient » plus), et elle pourrait se régénérer plus rapidement.<!–jolstore–>

La peau, victime des UV

« La peau est le premier tissu organique à être exposé aux UV, et elle est très sensible au stress oxydatif » explique Aaron Barson, scientifique en nutrition à l’Université d’Utah, d’après le New York Daily News.

« Notre étude démontre que l’état de la peau s’améliore rapidement dès lors que le stress oxydatif diminue, et elle peut être très vite « guérie » grâce à la prise de AS10. » Cette boisson est une concoction d’éléments alimentaires les plus sains, les plus antioxydants et les plus riches au niveau phytochimique qui puissent être trouvés.

Une recette miracle ?

Selon le Daily Mail, le liquide est composé de cupuaçu (fruit originaire du Sud et du Sud-Est de l’Amazonie brésilienne), d’açaï (baies d’un palmier originaire d’Amérique du Sud), d’acérola (fruit appelé cerise des Barbades, originaire des régions tropicales d’Amérique du Sud), de figues de Barbarie (fruits de l’Opuntia, de la famille des cactus), de fraises chinoises, de raisin, de thé vert et de grenade, entre autres.

Une étude concluante

L’étude, réalisée à l’Université d’Utah, a testé le produit sur un échantillon de 180 personnes qui avaient subi des altérations cutanées dues au rayonnement du soleil. La Daily News rapporte qu’après une durée de quatre mois à boire deux fois par jour de l’AS10, les imperfections dues aux UV avaient été réduites de 30% et les rides de 17%. Les antioxydants, à l’instar de ceux présents dans l’AS10, s’attachent aux radicaux libres (molécules particulièrement nocives présentes dans l’oxygène) et peuvent les arrêter avant qu’ils n’abîment la peau.

Global Post / Adaptation Amélie Garcia / JOL Press

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