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La Tour Eiffel est estimée à 434 milliards d’euros selon la chambre de commerce de Monza et Brianza, en Italie. Vous l’aurez compris ce n’est pas la valeur du poids total de l’acier de la Dame de Fer mais bien son image à travers le monde qui est tant valorisée. Le monument parisien dépasse largement les autres sites européens de ce classement. Et en terme de comparaison, constate le Figaro, le coût de la Tour Eiffel c’est « un cinquième du PIB de la France, ou environ dix fois les intérêts annuels de la dette française ou encore la dotation du FESF, le Fonds européen de stabilité financière (440 milliards) ».
Le monument parisien dépasse largement les autres sites européens
La Sagrada Familia en Espagne par exemple, n’est estimée qu’à 90 milliards d’euros. C’est presque 5 fois moins que notre tour en acier. La cathédrale barcelonaise dont la construction a débuté en 1882 et n’est toujours pas achevée, arrive troisième de ce classement juste derrière le Colisée italien. Le symbole des Jeux romains, vieux de plusieurs milliers d’années est valorisé 91 milliards d’euros, un milliard d’euros de plus que le site religieux qui le suit.
En quatrième position du classement on retrouve le Tower Bridge. Le pont qui enjambe la Tamise vaudrait 70 milliards d’euros. Gare aux petits malins qui par rivalité avec nos cousins d’outre-manche seraient tentés de mettre cette estimation sur le dos des Jeux Olympiques. Non, l’étude, affirme le Figaro, ne tient pas compte des retombées des Jeux.
Un moyen de rembourser nos dettes ?
Enfin, le musée du Prado, en cinquième position, est estimé à 59 milliards d’euros. Une belle somme pour les Espagnols dont le pays connaît une grave crise financière.
Ceci est un message au Qataris : pourriez-vous acheter le musée du Prado (et peut-être le Colisée, voir la Tour Eiffel) pour nous aider, nous, Européens désargentés, à rembourser nos dettes ? Par avance merci de votre retour.
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