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Un final en apothéose: l’intégrale de la cérémonie de clôture

 

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Après une cérémonie d’ouverture placée sous le signe de l’humour et de la tradition, rares étaient ceux qui pouvaient imaginer que Londres puisse décevoir au moment de baisser le rideau. Pari tenu que ce dernier pari comme l’ont été tous les autres paris relevés pendant 17 jours par la capitale britannique…

Cette fois-ci, la reine Elizabeth II n’avait pas fait le déplacement. En vacance dans sa résidence préférée de Balmoral en Ecosse, elle avait dépêché la nouvelle génération. Le Prince Henry de Galles – Harry pour les intimes – la représentait officiellement, secondé avantageusement dans sa tâche par sa belle-sœur, la princesse Catherine, duchesse de Cambridge – Kate, of course…

La première partie du show ont été l’occasion de remonter le temps et 150 ans de musique britannique, du classique au rock. Kim Gavin, le directeur artistique, avait choisi, pour cela, trente chansons célébrissimes. Tous les participants ont chanté live dans un stade olympique transformé en 24 heures en gigantesque salle de concert.

Ils sont venus, ils sont tous là…George Michael, les Who, les Spice Girls avec Victoria « Posh » Beckham, Eric Idle des Monty Python, Jessie J… Autant d’apparitions spectaculaires dans une volontaire cacophonie.

Les athlètes, massés sur le centre du stade après avoir fait leur entrée tous ensembles, et non délégation par délégation, formaient avec la scène un magnifique « Union Jack », le célèbre drapeau britannique. Le protocole, pour la cérémonie de clôture, est réduit au minimum – hymnes nationaux et olympiques – jusqu’au passage de témoin entre Londres et Rio, prochaine ville hôte des Jeux d’été.

Rio de Janeiro et le Brésil ont été à l’honneur avec une présentation de 8 minutes, avant-goût de ce qui attend les athlètes et le monde dans quatre ans. Puis, la flamme olympique s’est éteinte et le feu d’artifice a commencé.

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