C’est la rentrée du football et ce genre de rentrée coûte habituellement très cher. Qu’il s’agisse des Qataris au Paris Saint-Germain ou des Russes et de leurs envies de grandeurs, l’argent et les investissements seront, cette année encore, au cœur des enjeux du sport.
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En Russie, le géant du gaz Gazprom s’offre un stade de 60 000 fans pour la somme de 90 millions d’euros. En France, le Paris Saint-Germain est arrosé de fonds qataris et malgré cela, les résultats ne sont pas au rendez-vous.
Une chose est sûre, la crise ne semble pas atteindre le sport : à l’heure du bilan du mercato d’été, de nombreux millions d’euros ont encore été dépensés pour le transfert des joueurs.
JOL Press consacre un dossier spécial à l’argent dans le football.
Les Russes encore plus forts que les Qataris
Le 3 septembre, le Zénith Saint-Pétersbourg s’offrait deux pointures du football pour la coquette somme de plus de 90 millions d’euros. Merci qui ? Merci Gazprom ! Le géant gazier russe, qui affiche des bénéfices de plus de 30 milliards d’euros pour l’année 2011, est le propriétaire et le sponsor du club. > Lire la suite de l’article
Mercato : face à la crise, les clubs misent sur les espoirs
Le mercato d’été se termine. Des offres plus timides que d’habitude. Peu de coups d’éclats. Bilan. > Lire la suite de l’article
Le PSG est-il (une énième fois) en crise ?
La rengaine est décidemment récurrente depuis que le fonds qatari QSI a pris le contrôle du Paris Saint-Germain et y injecte des sommes considérables : à la moindre contre-performance, observateurs et médias se jettent sur le club de la capitale avec toujours le même mot à la bouche : « crise ». Après trois matchs nuls, qu’en est-il vraiment ? > Lire la suite de l’article
Ibrahimovic offre au PSG sa première victoire à Lille
Le Paris Saint-Germain s’est imposé pour la première fois de la saison 2012-2013 en battant Lille (2-1), grâce à un doublé du buteur suédois Zlatan Ibrahimovic. > Lire la suite de l’article
