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Valérie Trierweiler sur Canal +, une rumeur pas claire

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Mais, non, Valérie a envie des spotlights. Elle qui a découvert la télévision sur le tard – avec son émission politique « 2012, portraits de campagne » sur Direct 8 –, entendrait y retourner sans attendre le terme du mandat de son Président. Ainsi, Europe 1 nous apprend qu’elle serait en négociation avec Canal + pour animer une émission culturelle, diffusée tous les deux mois – probablement sur Direct 8 récemment racheté par la chaine cryptée. Elle s’ennuierait donc, la First Girlfriend, mais juste un peu.

« En parallèle, Valérie Trierweiler continue ses chroniques dans Paris-Match, mais elle ne met plus les pieds dans la rédaction. La première dame a demandé à une secrétaire de lui faire ses cartons », souligne Europe1.

Les caprices de la Favorite…

À ce sujet, on ne se lasse pas de relire « La favorite » de Laurent Greilsamer, journaliste et écrivain, directeur-adjoint du Monde de 2007 à 2011. Ah, comme il est mordant lorsqu’il n’hésite pas à lui rappeler ses états de service – somme toute, modestes – et lui lance : « Tu devras apprendre le sang-froid, la modestie, la normalitude, Valérie. Il te reste tant de choses à apprendre… »

Un peu d’altruisme…

La « Première Dame » de facto souhaiterait rester indépendante… Bien évidemment, il est difficile de le lui reprocher. Après tout, divorcée, elle a des enfants à élever. Mais, tout de même, ce ne serait pas tomber dans la République bananière ou retourner à la pire époque de la Monarchie absolue que d’imaginer que Valérie Trierweiler puisse tirer quelques ressources d’un engagement discret et citoyen à la tête d’une fondation – qu’elle créerait ou qui, par exemple, existerait déjà. Quelques revenus, un salaire, en toute transparence. Rien à dire.

Vanité, vanité…

Compte tenu des difficultés que traversent la France et le monde, on s’imaginerait à sa place engager des actions pour soulager ses concitoyens et tenter de seconder – dans l’ombre – son Président de compagnon.  Eh bien, non… la véritable ambition de Valérie Trierweiler reste dans le journalisme : « Première journaliste de France », nous a-t-elle déjà dit… Bien sûr… D’ailleurs, à ce sujet, puisqu’on parle de Canal +, sait-elle que Michel Denisot va diriger le Vanity Fair français… Parce que, ça, c’est drôlement chic. Et puis « vanité, vanité, tout n’est que vanité… » Juste ?

Alerte, François, Valérie Trierweiler se cherche, elle nous cherche aussi…

Alors, entre deux sommets européens, deux manifestations d’islamistes, deux joutes parlementaires sur le droit de vote des immigrés ou le mariage homosexuel, prière de régler cela. Il en va de votre bilan, Monsieur le Président !

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