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Droits voisins: ce que propose l’association de la presse IPG

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IPG pour « intérêt politique et général » : c’est le nom de l’association créée en mai 2012 et regroupant les principaux titres de la presse française – journaux quotidiens, magazines hebdomadaires ou mensuels d’intérêt politique et général.

La raison d’être de cette association

Le but de cette association a été clair, dès sa création : «  Renforcer le poids politique et la force de négociation économique de la presse IPG nationale – ainsi réunie pour la toute première fois de son histoire.  »

L’association IPG doit être «  le lieu privilégié de concertation des publications d’intérêt politique et général ». Aux côtés des syndicats professionnels, elle  a vocation à participer à la concertation indispensable avec le gouvernement et l’ensemble des pouvoirs publics, pour avancer sur chacune des questions essentielles pour l’avenir de la presse nationale d’information politique et générale.

À la création, l’un des enjeux présenté comme urgent était de renforcer les conditions de la viabilité économique de la presse. Parmi les autres buts de l’association, la redistribution de la valeur dans l’économie numérique, la promotion des projets ambitieux de développement d’accès aux contenus de la presse dans le cadre d’accords équilibrés avec les grands acteurs technologiques (Apple, Google, FAI, télévisions connectées…). Autre sujet d’importance, celui des dispositifs d’aides à la presse.

Qui sont les membres de l’association IPG ?

Nathalie Collin, coprésidente du directoire du groupe le Nouvel Observateur, est la présidente de l’association. Le bureau de l’association comprend des représentants des groupes les Échos, le Monde, Lagardère Active, Bayard Presse et de l’Humanité.

L’association IPG a soumis à la ministre de la Culture, Aurélie Filippetti, l’ébauche d’un texte de loi visant à réformer le régime des droits voisins pour les organismes de presse, et de veiller, notamment, à ce que ceux-ci bénéficient des retombées positives de leurs activités notamment numériques.

Voici ce texte et son explication par l’association IPG :

Projet de Proposition de loi sur les droits voisins pour les organismes de presse

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