Inutile de chercher les dernières informations météorologiques aux États-Unis sur les différentes éditions de l’« Huffington Post » : « Accès refusé » et scénario catastrophe… Le « HuffPost » et de nombreux autres sites internet sont les victimes de l’ouragan Sandy.
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Comme dans un film catastrophe… D’abord, les images apocalyptiques d’accumulation de nuages rarissimes, puis du vent et de l’eau, beaucoup de vent et beaucoup d’eau, venus du ciel et de la mer… Les populations les plus exposées sont évacuées, l’électricité saute… et tout s’enchaîne.
Mardi 00h46 sur la côte Est…
L’ouragan Sandy s’est échoué sur la côte Est des États-Unis, bien plus au nord que les cyclones habituels, vers 20h00 lundi 29 octobre, entrainant des inondations records… Comme toutes les rédactions, la rédaction du « Huffington Post » est sur le qui-vive.
À 00h46 mardi 30 octobre au matin, l’accès au site américain et à toutes les autres éditions – anglaise, canadienne, espagnole et, bien sûr, Le HuffPost francophone – est interrompu…
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Les serveurs inondés
Mais que se passe-t-il ? Au petit matin, la rédaction francophone, depuis ses bureaux parisiens, annonce la nouvelle…
Les serveurs qui hébergent les sites – tous les sites -, situés au New Jersey et à New York City, ont été inondés. Un responsable travaillant sur les serveurs a déclaré : « Les sous-sols inondés, les pompes à eau ne fonctionnent pas – nos équipes sont au travail. Plus d’un mètre d’eau désormais ».
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Le HuffPost n’a pas le monopole…
D’autres sites internet ont vu leur accès interrompu, notamment les sites de Gawker – Jezebel et Gizmodo.
Nul ne doute que la liste va s’allonger et que cela viendra augmenter le coût économique du « Frankenstorm ».