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Depuis son accession au pouvoir, Hugo Chavez n’a jamais connu d’échec lors d’un scrutin électoral. Or il semblerait que ce dimanche 7 octobre soit une journée plus compliquée pour le président sortant. Les derniers sondages ne lui donnent qu’une faible avance sur son adversaire Henrique Capriles Radonski. L’institut Consultores 21 donne même la victoire à Henrique Capriles Radonski.
Hugo Chavez, lors d’un discours public le 17 février, s’était montré menaçant : en cas de victoire de l’opposition « bourgeoise » à l’élection présidentielle, « nous ne resterons pas les bras croisés », avait-t-il averti, ajoutant que « les militaires ne sont pas manchots non plus ».
Une élection sous haute tension donc pour le Venezuela…
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Si le président vénézuélien, au pouvoir depuis près de quatorze ans, devait perdre l’élection présidentielle, cela modifierait les relations diplomatiques que Washington entretient avec Caracas, mais aussi avec le reste du continent latino, « émancipé » d’une tutelle agressive. > Lire la suite de l’article
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Au Venezuela, tous les partis d’opposition ont réussi à forger une improbable alliance pour mettre fin aux treize ans de règne d’Hugo Chavez. Le 12 février, au terme d’une primaire à l’affluence inespérée, ils se sont trouvé un chef : le centriste Henrique Capriles Radonski. > Lire la suite de l’article
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Samedi 29 septembre, des hommes armés ont tiré sur des activistes alliés de Henrique Capriles à Barinas, l’État d’origine du président vénézuélien Hugo Chavez, une semaine seulement avant le vote décisif du 7 octobre. Trois hommes ont trouvé la mort dans la fusillade. > Lire la suite de l’article