L’ancien Premier ministre – et premier président de l’UMP en 2002 -, Alain Juppé, leur avait donné jusqu’à 20 heures. Jean-François Copé et François Fillon ont accepté sa médiation. Celui-ci dirigera une instance collégiale chargée d’examiner les résultats de l’élection. Suivez la crise de l’UMP en direct.
[image:1,l]
Même plus drôle
Le Front National de Marine Le Pen, par l’odeur alléché, se rapproche dangereusement, persuadé de récupérer un morceau de la carcasse de l’UMP – le flanc droit, à coup sûr. Jean-Louis Borloo, dans le secret comme le veut la tradition radicale, débaucherait un par un les élus à la fibre centriste pour renforcer les troupes de sa jeune UDI.
Devant un tel spectacle, la gauche semble même avoir perdu l’envie de plaisanter, de rire. La presse, estomaquée, observe bouche bée, peinant à suivre le rythme des nouveaux développements.
Lazzis et quolibets
Ce matin, Jean-François Copé, invité d’Europe 1, traite François Fillon de « mauvais perdant qui vient donner des leçons de morale sans se les appliquer à lui-même » et dénonce des fraudes en Nouvelle-Calédonie.
A midi, le même « secrétaire général », comme l’appelle « l’ex-Premier ministre », annonce qu’il saisira lui-même la commission des recours pour qu’elle confirme – on l’imagine – la décision de la désormais célèbre Cocoe.
Ce qu’en pense Twitter…
Tweets concernant « #UMP »
!function(d,s,id){var js,fjs=d.getElementsByTagName(s)[0];if(!d.getElementById(id)){js=d.createElement(s);js.id=id;js.src= »//platform.twitter.com/widgets.js »;fjs.parentNode.insertBefore(js,fjs);}}(document, »script », »twitter-wjs »);