Site icon La Revue Internationale

Les sept points économiques clés du discours du Président

[image:1,l]

Crise économique 

« Nous vivons bien plus qu’une crise, nous vivons un changement du monde. Et c’est pourquoi, depuis six mois, j’ai fait mes choix et je m’y tiens sans avoir besoin de prendre je ne sais quel tournant, je ne sais quel virage car ces choix sont conformes à mes engagements, à mes principes et, surtout, aux intérêts de la France. »

Hausse de la TVA 

« La refonte de la TVA prévue par le pacte de compétitivité permettra de régler une fois pour toutes la question de la TVA dans la restauration à 10%, qui est à peu près au même taux un peu partout en Europe. »

Chômage 

« Toute ma stratégie, toute ma politique, c’est une mobilisation contre le chômage », a scandé le président de la République. « Mon intention est d’inverser la courbe du chômage fin 2013 ». « Une politique n’est pas une accumulation de propositions et de mesures aussi fortes soient elles. (…) Ma mission : parvenir à redresser la croissance et a réduire le chômage. C’est sur ses seuls résultats que je demande à être jugé. »

Gaz de schiste 

« Il y a eu une loi en 2011 qui interdit la fracturation hydraulique. Tant qu’il n’y aura pas d’autres techniques, il n’y aura pas d’exploitation. J’ai fixé le cap et je m’y tiens ». Mais si de nouvelles techniques apparaissent, le Président « prendra ses responsabilités ».

Crédit d’impôt 

« Ce crédit aura un effet immédiat dès le 1er janvier. Ce n’est pas un cadeau, mais un levier qui offre aux salariés un moyen de traverser la crise. C’est un pacte de confiance. Ce pacte sera simple, sans formalité administrative »

Les erreurs du gouvernement 

« Est-ce que je me pose la question de savoir si on fait des erreurs ? On fait toujours des erreurs. Et le premier qui en est responsable, c’est moi. Ce n’est pas le Premier ministre, ce ne sont pas les ministres, c’est moi, parce que je suis celui que les Français ont élu. » 

Solidarité gouvernementale 

« Je ne souhaite pas qu’un seul parti gouverne notre pays. Et donc, il y a trois partis qui sont représentés au gouvernement, le parti socialiste, les écologistes et les radicaux de gauche. Je leur demande d’être à la fois ce qu’ils sont, d’apporter leur singularité et d’être solidaires. »

> Consultez d’autres articles du même auteur sur le site d’Économie Matin

Quitter la version mobile