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Une folle semaine s’achève pour les prétendants aux prix littéraires. Le bal des récompenses s’est ouvert avec le Grand Prix du roman de l’Académie française jeudi 25 octobre, décerné à Joël Dicker, un écrivain suisse âgé de 27 ans, pour son deuxième roman intitulé La vérité sur l’affaire Harry Quebert (aux Editions Fallois), un thriller de 700 pages, véritable peinture de la société américaine contemporaine.
Quelques jours de pause, puis le marathon littéraire a repris de plus belle lundi 5 novembre, avec la remise du prix Femina à l’écrivain Patrick Deville pour son roman Peste & Choléra (aux Editions Seuil) : incroyable histoire d’un jeune chercheur suisse, Alexandre Yersin, parti au bout du monde pour découvrir le bacille de la peste. Primé par le prix Fnac, favori du prestigieux Goncourt et sélectionné pour les prix Renaudot et Médicis, Patrick Deville a été « plébiscité » en remportant dix voix sur douze au premier tour.
Le prix Femina étranger, décerné la même journée, a été quant à lui accordé à l’auteure américaine d’origine japonaise Julie Otsuka, qui s’inspire aussi d’une histoire vraie dans Certaines n’avaient jamais vu la mer (Phébus), et raconte l’exil de milliers de Japonaises en Californie au début du XXe siècle.
Mercredi 7 novembre fut une journée intense pour les candidats à la récompense suprême : le Goncourt. C’est l’écrivain corse Jérôme Ferrari qui a été primé pour son roman Le Sermon sur la chute de Rome, paru aux éditions Actes Sud. À 44 ans, ce professeur de philosophie s’est dit heureux, mais confie ne pas avoir « encore mesuré ce que c’est ». Dans la même journée, la Rwandaise d’origine tutsi Scholastique Mukasonga a remporté à la surprise générale le prix Renaudot 2012 pour son livre Notre-Dame du Nil (Gallimard).
Enfin, cette semaine de folie s’est achevée jeudi 8 novembre avec les prix littéraire Décembre et Flore, remis respectueusement à Mathieu Riboulet pour Les oeuvres de Miséricorde (aux Editions Verdier), et au jeune écrivain Oscar Coop-Phane pour Zénith-Hôtel.
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Jérôme Ferrari couronné par le prix Goncourt
Le prestigieux prix Goncourt a été décerné mercredi 7 novembre à l’écrivain corse Jérôme Ferrari pour son roman Le Sermon sur la chute de Rome, paru aux éditions Actes Sud. À 44 ans, ce professeur de philosophie s’est dit heureux, mais confie ne pas avoir « encore mesuré ce que c’est »…>>Pour lire la suite de l’article
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La semaine des prix littéraires : dernière ligne droite
Après le Grand Prix du roman de l’Académie française, décerné le 25 octobre dernier à Joël Dicker, le bal des prix littéraires reprend de plus belle. Du lundi 5 novembre au jeudi 8 novembre, les lauréats du prix Femina, Médicis, Goncourt, Renaudot seront révélés. Des favoris se dégagent, mais d’autres auteurs moins attendus …>> Pour lire la suite de l’article
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Prix Renaudot : « Notre Dame du Nil » crée la surprise
Mercredi 7 novembre, c’est la Rwandaise d’origine tutsi Scholastique Mukasonga qui a remporté à la surprise générale le prix Renaudot 2012 pour son livre Notre-Dame du Nil (Gallimard). C’est au restaurant Drouant, à Paris, que le jury a annoncé le résultat…>> Pour lire la suite de l’article
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Combien rapporte un prix littéraire ?
Si plus de 1000 prix littéraires francophones existent, seulement quelques-uns d’entre eux ont un réel poids médiatique : le Goncourt, récompense suprême, le Renaudot, le Femina, le Médicis, l’Interallié, le Décembre, ainsi que le Grand Prix de l’Académie française. En France, la somme versée aux lauréats est plutôt modeste. Mais plus que l’intérêt financier...>>Pour lire la suite de l’article
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Le bal des prix littéraires est ouvert
Le marathon des prix littéraires s’est ouvert jeudi 25 octobre avec le Grand Prix du roman de l’Académie française. Le jeune écrivain suisse a été récompensé pour La vérité sur l’affaire Harry Quebert…>>Pour lire la suite de l’article