L’empire Apple contre-attaque. Vendredi 2 novembre, l’iPad mini de la marque à la pomme sort officiellement dans 34 pays, dont les États-Unis et la France.
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L’iPad mini est plus petit et moins cher que l’iPad traditionnel, mais plus grand et plus cher que ses concurrents directs, le Kindle Fire d’Amazon ou la Nexus 7 de Google. Le match va être serré.
Dans sa version wifi, l’appareil affiche un prix de vente de 329 dollars aux États-Unis, 339 euros en Europe.
Des files d’attente discrètes devant les Apple stores
Une sortie discrète en Asie, un peu moins en Europe. Malgré les conditions météorologiques automnales, des files d’attente se sont formées devant les Appel stores européens. À Milan, Paris ou Francfort, comme avant à Tokyo ou Sydney, ils étaient quelques dizaines à attendre dès l’aube l’ouverture des magasins pour être les premiers à mettre la main sur le nouveau gadget.
L’an dernier, ils étaient des centaines à se bousculer pour la sortie de l’iPad 2.
Une explication : les pré-commandes sur Internet, ouvertes depuis le 26 octobre, ont été très nombreuses.
Un concentré d’iPad
Aussi fin qu’un crayon, l’iPad mini fait 7,2 mm d’épaisseur, mesure 7,9 pouces (contre 9,7 pouces pour l’iPad) et pèse 308 grammes (53% plus léger que l’iPad de troisième génération). L’iPad mini est « de long en large un iPad. Ce n’est pas un iPad de taille réduite, mais un concentré d’iPad », déclarait hier Philip Schiller, le patron du marketing d’Apple sur la scène du California Theater.
L’ipad mini affiche la même résolution que l’iPad 2 (1024 × 768) et toutes les fonctionnalités de l’iPad sont présentes (puce A5, caméra 5 mégapixels et autonomie de 10 heures). L’appareil, très léger, est cependant trop large pour tenir dans la poche d’une veste. Mais reste cependant plus pratique à glisser dans un sac. Alors, quid des réactions ?
