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«Le Hobbit: un voyage inattendu»… dans l’univers de Tolkien

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Soixante ans avant l’époque du Seigneur des Anneaux

Annoncé comme le blockbuster de cette fin d’année 2012, Le Hobbit, un voyage inattendu sera le premier volet d’une trilogie tiré de l’œuvre de J.R.R. Tolkien, Bilbo le Hobbit.  Fidèle au livre, l’adaptation du réalisateur oscarisé Peter Jackson nous emmène dans la Terre du Milieu, soixante ans avant l’époque du Seigneur des Anneaux. Bilbo Sacquet cherche à reprendre le Royaume perdu des Nains d’Erebor, conquis par le redoutable dragon Smaug.

Bilbon croisera par hasard la route du magicien Gandalf le Gris, et rejoindra une bande de treize nains menée par le chef Thorin Écu-de-Chêne. Leur périple les conduit au cœur du Pays Sauvage, où ils devront affronter des Gobelins, des Orques, des Ouargues meurtriers, des Araignées géantes, des Métamorphes et des Sorciers

Le groupe devra se rendre sur les terres désertiques du Mont Solitaire, mais tentera auparavant d’échapper aux tunnels des Gobelins, où Bilbo rencontre la créature qui changera à jamais le cours de sa vie : Gollum, avec qui il fera preuve d’un courage et d’une intelligence inattendus, et parviendra à mettre la main sur le « précieux anneau » de Gollum qui recèle des pouvoirs cachés… Ce simple anneau d’or est lié au sort de la Terre du Milieu, mais cela, Bilbo l’ignore encore…

De nouvelles techniques cinématographiques

Depuis la trilogie du Seigneur des Anneaux, les techniques cinématographiques ont évolué. Le réalisateur Peter Jackson a par exemple utilisé de nouvelles technologies pour réduire la taille des personnages. Autre nouveauté majeure : grâce au high frame rate (HFR), le film concentre 48 images par seconde, soit le double d’un film normal. Même si la plupart des salles de cinéma le projetteront au fromat habituel pour éviter des problèmes de conversion, il s’agit d’une avancée majeure dans la technologie cinématographique augmentant ainsi la précision de l’image, captant mieux l’attention du spectateur. 
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