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Un jeune amputé d’une main par la justice des mollahs iraniens

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La sauvagerie des mollahs intégristes n’a pas de frontière. Sortis du fond des âges, ils ont institué un système basé sur la violence et les châtiments corporels inhumains. Les violences infligées sur les prisonniers politiques dépassent parfois l’imagination.

Au cours des dernières années de nombreux cas de châtiments barbares ont été rapportés par les médias iraniens

Sentence : enlever l’oeil droit et l’oeil gauche

Dans un cas récent, le 2 novembre 2012, un tribunal iranien a condamné un jeune homme à perdre la vue. La sentence de représailles physiques précisait « le châtiment qui consistera à enlever l’oeil droit et l’oreille gauche de l’accusé, ainsi que le versement d’un dédommagement financier. »

Un autre cas ahurissant concerne « deux jeunes condamnés à être jetés dans un précipice ». Le journal gouvernemental Qods avait rapporté il y a quelques années le cas de  Tayab et Yazdan, « qui seront enfermés dans un sac et jetés dans un précipice dans les environs de la ville de Chiraz. Si les deux hommes survivent à cette chute, ils seront pendus, ont précisé les experts judiciaires. »

L’ensemble des lois pénales actuelles du régime, intitulé le code pénal islamique et contenant 729 articles, est entièrement basé sur des châtiments corporels comme la peine de mort, torture et la flagellation. Outre des châtiments inhumains comme la lapidation, la crucifixion, faire chuter la victime du haut d’un rocher, amputations… dans plus de 100 cas la peine de mort et dans environ 50 cas des coups de fouet ont été prévus.

Les châtiments corporels appelés « Diya » constituent la base des peines prévues par ce code.

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