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Valérie Trierweiler protège jalousement sa vie et n’apprécie guère – c’est le moins qu’on puisse dire – l’utilisation d’images la présentant aux côtés de son compagnon-président, François Hollande. A fortiori lorsqu’il s’agit de clichés volés lors de moments privés.
Une photo du couple présidentiel en « Une »
C’est une photo de Valérie Trierweiler et François Hollande se promenant dans le jardin du Luxembourg à Paris que Paris-Match a choisi pour sa couverture du 6 février dernier. Ce choix aurait valu au directeur de la rédaction du magazine une réprimande de la Première dame.
L’information est diffusée par le Canard Enchaîné, dans son édition du mercredi 20 février. D’après l’hebdomadaire, Valérie Trierweiler s’en serait pris vertement à Olivier Royant lorsqu’elle a découvert cette photo d’elle avec François Hollande.
Un « journal de m…. » ?
Selon le Canard Enchaîné, Valérie Trierweiler aurait eu recours au mot de Cambronne pour qualifier son propre journal. L’information est bien évidemment à prendre avec des pincettes.
L’entourage de la Première dame a reconnu que celle-ci avait fait part de son mécontentement au responsable de Paris-Match, notamment parce que, contrairement aux habitudes, elle n’avait pas été prévenue de cette « Une ». En revanche, la même source dément l’utilisation du juron.
« Valérie Trierweiler continue à travailler à Paris Match. Elle collabore à ce journal depuis 22 ans, si elle considérait comme on lui fait dire que ‘c’est un journal de merde’, elle serait partie depuis longtemps. Elle a protesté en termes beaucoup plus courtois que ce qui est rapporté. Ca ne remet pas en cause sa collaboration », ajoute encore son entourage.
Valérie Trierweiler a justifié la poursuite de sa collaboration avec le magazine, à travers notamment la tenue d’une tribune littéraire régulière, par la nécessité pour elle de subvenir à ses besoins et à ceux de ses enfants, malgré son nouveau rôle aux côtés du président de la République.