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EN DIRECT – Confusion autour de la libération de la famille française

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[image:1,l]L’information, qui circulait depuis tôt dans la matinée, n’avait pas été recoupée. La rumeur est née d’une dépêche de l’AFP, indiquant que la famille de sept personnes enlevée dans le nord du Cameroun, mardi 19 février, avait été retrouvée par les autorités nigérianes dans la localité de Dikwa (nord du Nigeria), et libérée. Cette information aurait été recueillie par un journaliste de l’AFP auprès du cabinet du Premier ministre et des militaires camerounais.

Une matinée de confusion

Tout au long de la matinée, la confusion s’est accentuée au fur et à mesure que les cafouillages s’accumulait : le ministre Kader Arif a annoncé la libération à l’Assemblée nationale, le conseiller presse de l’Ambassade de France au Cameroun a fourni des détails, etc.

Démenti de Paris

Le Quai d’Orsay et l’Elysée appellent à la prudence. Vers 13h30, un haut fonctionnaire du Quai d’Orsay – Didier Le Bret, directeur du centre de crise du ministère des Affaires étrangères – à Paris dément l’information: à l’heure où il parle, les 7 otages français, la famille Moulin-Fournier, n’ont pas été libérés.

Cela ne signifie pas qu’il n’y a pas eu une tentative de libération ou qu’une opération n’est pas en cours.

 


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