L’affaire avait bouleversé le Royaume-Uni et le monde entier. En mai, cela fera six ans que Madeleine McCann, alors âgée de quatre ans, a disparu de l’appartement de vacances de ses parents au Portugal. Depuis, la rumeur a fait réapparaître la fillette aux quatre coins du monde.
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La ressemblance physique serait flagrante et une petite Néo-Zélandaise est souvent prise pour Madeleine McCann – en raison notamment de la même coquetterie à l’œil…
Un échantillon d’ADN
Pour lever tous les doutes, un morceau d’ADN de la jeune fille a été adressé à la police locale qui l’adressera à Scotland Yard.
L’ADN est un moyen de lever définitivement le doute – un moyen infaillible, estiment les autorités policières.
Le résultat ne sera pourtant pas connu immédiatement, le temps de réaliser toutes les analyses.
Une enquête néo-zélandaise
Le 31 décembre dernier, une enquête de cinq jours a été ouverte par la police néo-zélandaise après que le responsable d’un magasin a fait connaitre ses doutes sur un homme accompagné d’une jeune fille ressemblant nettement à Madeleine McCann.
La police est convaincue qu’il ne s’agissait pas de la fillette recherchée, et la confusion était, disent-ils, fréquente.
La détermination des parents de Madeleine
Gerry et Kate McCann, les parents de Madeleine, n’ont jamais abandonné leur combat pour retrouver leur fille qui aurait aujourd’hui neuf ans.
Elle a été signalée en Suède, en Belgique ou encore en Australie. Ce n’est d’ailleurs pas la première fois qu’un enfant subit un test ADN pour s’assurer qu’il ne s’agit pas de Madeleine. En 2011, en Inde, une jeune fille accompagnée un homme belge et d’une femme française a été testée.