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L’intérêt royal pour la préservation des sites historiques marocains

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Ces deux conventions, relatives à la restauration et à la réhabilitation des monuments historiques ainsi qu’au traitement du bâti menaçant ruine dans la médina de Fès, s’inscrivent dans le cadre des efforts visant la réhabilitation du tissu urbain de la ville et la préservation de son patrimoine historique, ainsi que l’amélioration des conditions de vie de la population de cette cité millénaire.

Recensement exhaustif des habitations menaçant ruine à Casablanca

La mise en œuvre de ce chantier intégré vise à développer et réhabiliter la médina, classée patrimoine national et mondial en améliorant la situation socio-économique de la population locale, à sauvegarder le bâti originel, à organiser la circulation et à redynamiser le développement communautaire.

De plus, et afin de préserver les intérêts des ménages touchés par ces travaux, le Souverain marocain avait donné Ses Hautes Instructions, en juillet 2012, pour la constitution d’une commission pour le recensement exhaustif des habitations menaçant ruine à Casablanca et dans d’autres médinas du Royaume du Maroc et ordonné l’identification des dispositions urgentes et nécessaires pour reloger les occupants de ces habitations appelées à être réhabilitées ou détruites.

Ainsi, la signature de ces deux conventions, sous la Présidence du Roi du Maroc, portant sur la restauration des monuments et le traitement du bâti menaçant ruine, constitue un événement pour la ville de Fès et sa population et témoigne du grand intérêt et de l’importance que les Souverains marocains accordent à l’histoire du Royaume depuis 12 siècles.

A rappeler que la richesse du patrimoine culturel marocain représente, sans aucun doute, un des attraits majeurs du Maroc.

 

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