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Le pire et le meilleur métiers en 2013 sont…

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Il n’y a pas de sous-métier ! C’est la réponse que l’on donne aux enfants lorsqu’ils affirment ne pas vouloir être éboueurs ou balayeurs… Pourtant, d’après le classement annuel du site Careercast, il existe bien un pire métier en 2013.

Après les bucherons et les soldats : journaliste, le pire métier !  

Journaliste ! Voilà la profession qui serait la moins valorisée d’après ce palmarès, construit sur plusieurs critères comme le salaire, l’effort physique, le stress, l’environnement de travail et les perspectives d’embauches.

Les journalistes auraient ainsi le métier le plus ingrat, et se placeraient après les bûcherons, les soldats, les acteurs ou encore les éleveurs de vaches laitières. S’ils semblent jouir d’un environnement de travail pourtant satisfaisant, les critères du stress et des perspectives d’embauches (négatives) font contrepoids.

Avec de plus en plus d’heures de travail et un salaire moyen qui ne cesserait de chuter, voilà un métier qu’il est déconseillé d’exercer.

Spécialiste statistique : le meilleur métier

Mais alors, quels métiers faut-il choisir pour être heureux ? Il faudrait, semble-t-il, se tourner vers la finance, le médical ou l’informatique. Les dix premières professions du classement appartiennent en effet à ces trois domaines.

A la première place, les actuaires, c’est-à-dire les spécialistes des statistiques et des probabilités financières, avec notamment un salaire moyen de plus de 67 000 euros. Viendraient ensuite les ingénieurs informatiques, les audiologistes (spécialistes des troubles auditifs) et les conseiller en investissement financier.

Jeunes : devenez médecins !

Le corps médical est particulièrement bien représenté, avec les ingénieurs biomédicaux (deuxième position), les dentistes (sixième place), les orthophonistes (septièmes) ou encore les chiropracteurs (onzièmes).

Point commun : tous ces métiers nécessitent un niveau d’étude plus élevé et jouissent d’un revenu supérieur à 52 000 euros, soit 4300 euros par mois.

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