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Jeudi 25 juillet, à Brdo pri Kanju, François Hollande a participé à un sommet inédit, celui des pays des Balkans occidentaux, ensemble composé des pays issus de l’ex-Yougoslavie et de l’Albanie. Après plus de vingt années de conflits militaires successifs, cette réunion illustre la prise de conscience d’un intérêt commun de ces pays dans leurs relations avec l’Union européenne.
Une initiative du président slovène
C’est le président slovène – dont le pays est membre de l’Union européenne depuis 2004 – qui a pris l’initiative de cette réunion avec ses homologies de Croatie, de Serbie, de Bosnie-Herzégovine, du Monténégro, du Kosovo, de l’ex-République yougoslave de Macédoine et de l’Albanie – seul pays qui n’était pas membre de l’ex-Yougoslavie.
François Hollande tente de résoudre une querelle lexicale
Parmi les multiples dossiers entre ces pays et l’Union européenne, l’appellation officielle de l’ex-République yougoslave de Macédoine (FYROM). Les Grecs refusent l’utilisation du terme « Macédoine », dont ils revendiquent la propriété historique.
François Hollande, convié au Sommet, a – involontairement – tenté de résoudre cette querelle. FYROM ou la Macédoine est devenu dans la bouche de François Hollande la Macédonie…
Encore un lapsus…
On savait François Hollande, qui avait si peu voyagé avant son élection, fâché avec la géographie… N’avait-il pas confondu « chinois » et « japonais », puis « Egypte » et « Tunisie au cours des derniers mois. Ce dernier lapsus en date n’est pas du plus bel effet ! Les chefs d’Etat de « Balkanie » auront apprécié…