Site icon La Revue Internationale

Des tests de grossesse bientôt vendus en supermarchés

[image:1,l]

Le gouvernement, par la voix de son ministre délégué à l’Economie sociale et solidaire et de la consommation, s’est dit favorable à l’élargissement  de la mise en vente des tests de grossesse et d’ovulation en dehors des officines pharlmaceutiques. Un amendemanement devrait être présenté en ce sens dans le cadre du projet de loi Consommation.

La clientèle captive des pharmacies

S’ils étaient vendus en pharmacie mais aussi ailleurs, « on pourrait faire baisser considérablement les tarifs » de ces tests a ainsi estimé le ministre chargé de la Consommation alors qu’il était interrogé sur RMC.

C’est alors dans les rayons pharmacie des éiceries et des supermarchés que les tests de grossesse pourront désormais trouver leur place.

« Nous voulons agir dans tous les domaines où nous considérons qu’il existe une forme de rente économique » qui maintient la « clientèle captive », a encore expliqué le ministre Benoit Hamon. « Il faut mettre de la fluidité dans tout ça ».

D’autres produits pourraient suivre le même chemin

Nos médicaments trouveront-ils eux aussi, à terme, leur place en pharmacie, tout comme les tests de grossesse ? Non, répond Benoit Hamon qui a tenu a rassuré les pharmacies, le monopole de la vente de l’ensemble des autres médicaments ne leur sera pas retiré, et ce en raison de l’importance du conseil prodigué par les pharmaciens.

Néanmoins, d’autres produits qui ne nécessitent pas forcément le conseil d’un pharmmacien, tel que « les nettoyants pour lentilles » pourraient eux-aussi, être bientôt commercialisés dans d’autres circuits de distribution.

Lu sur Ouest France

Quitter la version mobile