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A la Une des hebdomadaires: Valérie Trierweiler dans la tourmente

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Valérie Trierweiler n’avait pas épargné ses anciens confrères et consœurs, après l’élection de son compagnon à l’Elysée. En septembre 2012, elle faisait condamner l’hebdomadaire VSD à verser 2 000 euros pour avoir publié des photos du couple présidentiel en maillot de bain cet été là à Brégançon.

Procès contre VSD

Dans l’édito accompagnant les photos de Valérie Trierweiler, le rédacteur en chef de VSD, Mathieu Janin, racontait avoir reçu un coup de fil d’un « confrère » proche de la première dame : « Valérie Trierweiler allait nous traîner en justice si nous publiions des photos d’elle et de François Hollande se baignant à Brégançon », racontait-il alors. « De toute évidence, Valérie Trierweiler continue de penser qu’elle peut régenter les médias », avait-il poursuivi.

Procès contre les auteurs de « La Frondeuse »

En juin 2013, Valérie Trierweiler avait gagné son procès contre l’éditeur et les auteurs de La Frondeuse, une biographie non-autorisée évoquant entre autres une ancienne relation entre elle et l’ex-ministre Patrick Devedjian. Attaqués pour atteinte à la vie privée, Christophe Jakubyszyn, éditorialiste politique sur RMC et BFM TV, et Alix Bouilhaguet, grand reporter au service politique de France 2, les auteurs, avaient été condamnés à payer 10 000 euros de dommages et intérêts. Mais en décidant d’abandonner les poursuites, la « first girlfriend » avait été contrainte à verser 5000 euros aux deux journalistes pour remboursement de frais de justice.

A l’époque, le chef de l’État avait suscité une polémique en adressant au tribunal de Paris, sur papier libre, une attestation, dans le cadre d’un procès en diffamation intenté par sa compagne aux auteurs.

Colère contre Paris Match

En août 2012, Valérie Trierweiler, tweetait sa « colère » de s’être découverte en photo à la une de l’hebdomadaire Paris Match, « son propre journal », qui lui a aussitôt opposé son « indépendance ». « Quel choc de se découvrir à la une de son propre journal. Colère de découvrir l’utilisation de photos sans mon accord ni même être prévenue », avait-elle lancé. « Bravo à Paris Match pour son sexisme en cette journée des droits des femmes… Pensées à toutes les femmes en colère », ajoutait-elle peu après.

Vengeance journalistique ?

VSD a-t-il choisi de se venger des attaques de Valérie Trierweiler ?  Cette semaine l’hebdomadaire titre : « C’est fini – pourquoi la Première dame a tout perdu ». Et de suggérer une tentative de suicide dans un article : « Valérie Trierweiler aurait avalé quelques cachets et fait un malaise. Hollande, dans la foulée, demande qu’elle soit hospitalisée », écrit VSD. Le magazine affirme même que Valérie Trierweiler aurait songé à une séparation et aurait approché une communiquante pour rédiger une déclaration.

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Mais ce n’est pas le seul hebdo à s’attarder sur l’affaire. Paris Match ose un : « Un couple face à l’épreuve du pouvoir » et revient sur les circonstances de son hospitalisation. Valérie Trierweiler va-t-elle regretter d’avoir été si peu conciliante avec ses anciens confrères ?

Gala et Elle ont préféré consacrer leur Une à la nouvelle favorite : Julie Gayet.

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