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Le thé vert reste un antioxydant incontournable. (Shutterstock.com)
Le 21ème congrès européen sur l’obésité s’est achevé ce samedi 31 mai dans la capitale bulgare. Comportement nutritionnel, influences environnementales et analyse des diverses maladies résultant de l’obésité, tels ont été les sujets de discussion pendant 4 jours.
Le thé vert : encore et toujours…
Pour les adeptes de la ligne, les conclusions de ce 21ème congrès européen ne vous apprendront rien. Le thé vert reste un antioxydant incontournable. Contenant notamment de la vitamine C dont les propriétés phares sont le soulagement de la fatigue, la diminution de la sensation d’effort chez les personnes obèses, le raccourcissement de la durée des symptômes du rhume et, selon certains, des vertus antitumorales promptes à combattre le cancer.
Le thé permet aussi de lutter contre le stress, la dépression et… les maladies cardiovasculaires dont l’obésité est l’une des principales mères-porteuses.
Avis aux amateurs de vins, si le thé vert est fortement recommandé au quotidien, le vin rouge contient lui aussi sa part de tanins, substances naturelles qui préviendraient un certain nombre d’incidents cardiaques.
Et les petits gâteaux ?
Du thé donc, pour remplacer vos sodas favoris, quant aux petits gâteaux, l’amande semble être un bon compromis. Facile à grignoter, cette petite merveille vous coupera la faim rapidement, tout en prévenant la pousse des cheveux blancs sous votre couvre-chef. Attention cependant à ne pas en abuser, les professionnels conseillent une consommation tournant aux alentours de 45 g par jour.
Yaourt : nouvelle vague, nouvelle vogue ?
La seule nouveauté de ce congrès en matière de bons réflexes alimentaires est probablement le résultat de deux études, espagnole et bulgare, démontrant les biens-faits du yaourt sur la stabilisation du poids. Généralement restreint par nos nutritionnistes, l’OMS (Organisation Mondiale de la Santé) recommande d’ailleurs un maximum de 2 produits laitiers par jour, soit l’équivalent de 500g de calcium, le produit clé de l’alimentation balkanique vient d’être promu par les médias au rang d’incontournable.
Des repas « zen »
L’environnement dans lequel nous mangeons se doit avant tout d’être agréable. Selon une étude réalisée dans 8 pays européens auprès de 7 915 enfants, les chercheurs ont démontré que les enfants mangeant matin et soir avec leurs parents dans une ambiance sympathique et décontractée sont moins sujets à l’obésité que ceux abandonnés à leur assiette ou pire encore, immiscés au même moment au cœur des disputes des adultes.