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Comment Apple, Google et Facebook s’intéressent à la santé des internautes

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Apple et Google, ce n’est pas nouveau, s’intéresse de près à la santé de leurs clients. Dans cette course, Facebook pourrait bien être en train de les rejoindre.

Les géants du web surfent sur la santé

Selon une information données par « trois personnes familières », qui ont souhaité garder l’anonymat, à l’agence de presse Reuters, le géant du réseau social réfléchirait actuellement au développement de « ‘communautés de soutien’ qui connecteraient les utilisateurs de Facebook souffrant de différents maux », explique ainsi l’agence de presse, mais aussi à des « applications de ‘soins préventifs’ qui aideraient les gens à améliorer leurs modes de vie », peut-on lire sur Slate.fr.

Depuis quelques temps, Facebook serait alors en pleine réflexion et aurait, toujours selon Slate.fr, commencé à organiser une équipe de « recherche et développement pour tester de nouvelles apps de santé ».

Ces applications permettrait notamment d’aider « les gens à améliorer leur mode de vie dans un but préventif », lit-on encore sur 01net.com. Et le site de rappeler que « Facebook n’est pas tout à fait novice dans ce domaine », en effet, « il a donné la possibilité d’afficher son statut de donneur d’organe dès 2012 ».

Et la confidentialité des données ?

Sur le terrain de la santé, les géants du web ont déjà fait leur expérience. Slate.fr rappelle en effet que Google « cherche à contrer le vieillissement, notamment via Calico », un concept qui s’est offert la Une du Time récemment tandis qu’Apple « vient de lancer son ‘health kit’, censé tracer et collecter tout un tas de données sur notre rythme cardiaque, notre glycémie » etc.

La question de la sécurité des données personnelles des internautes est alors de nouveau posée. 01net.com rappelle ainsi qu’en janvier dernier, « Facebook avait réalisé des expérimentations sur les émotions de ses utilisateurs avec des chercheurs. Une plainte avait été déposée auprès des autorités de régulation américaines pour violation des règles de protection de la vie privée ».

Toutefois, le réseau social aurait bien entendu anticipé les risques et selon Mike Schroepfer, Facebook devrait prendre les dispositions nécessaires  pour que tout soi désormais fait dans les règles.

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