Site icon La Revue Internationale

«Troll Zemmourzi» : l’histoire drôle du Figaro

Avec son dernier opus, « Le suicide français », Éric Zemmour fait le « buzz » ou plutôt crée la polémique. Une tel « buzz », une telle polémique que son « suicide » s’arrache et qu’il est parvenu à déloger Valérie Trierweiler de la première place des ventes la semaine dernière. Pour cela – et pour cela seulement -, on est tenté de le remercier… « Merci pour ce soulagement », comme dirait l’autre.

Mais le soulagement n’est que de courte durée… Jean-Philippe Moinet, fondateur et directeur de La Revue Civique, ancien journaliste au Figaro – le journal qui abrite, en autres médias, Éric Zemmour – évoque la « Zemmour-mania », un mal bien français… Une histoire drôle qui ne fait que moyennement rire.

C’est une histoire drôle qui vient du Figaro

Le fait est réel : la journaliste Anne Fulda a la peine de partager son bureau avec Eric Zemmour (et Ivan Rioufol). Il paraît que ça rigole beaucoup entre ces quatre murs de la rue Haussmann. De bonnes blagues, parfois très grasses. Et le plaisir du polémiste préféré de Marine Le Pen, d’avoir fait la « Une » et trois pages « événements » du journal Libération. Anne Fulda, en langage télégraphique des ex-Républiques soviétiques – « La Pravda » est en effet le nom de code désignant le Figaro pour la diaspora de ses dissidents exilés – vient de se démarquer drôlement de son collègue de bureau : elle précise, dans son dernier bloc note de la semaine, qu’elle n’est pas toujours d’accord, « loin de là », avec l’auteur du « Suicide Français » mais qu’elle regrette beaucoup « la hargne » dont il est actuellement la victime.

Lire la suite de la tribune sur le site de La Revue Civique

Quitter la version mobile