Tourner sa langue sept fois dans sa bouche avant de parler… Ça vaut aussi sur les réseaux sociaux. La preuve avec cette histoire.
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Les réseaux sociaux peuvent coûter cher… Très cher. Une jeune Américaine en a fait les frais. Elle a été licenciée avant son premier jour de travail.
A la veille de commencer un nouveau travail, Cella fait part de son manque de motivation. Pour cela, elle utilise Twitter et des termes pas franchement élogieux et sympathiques, voire carrément vulgaires : « Arf… je commence ce pu**** de job de m**** demain ».
« Bonne chance sans travail »
L’affaire aurait pu s’arrêter là. C’était sans compter son futur-ex-employeur qui est tombé sur le fameux tweet.
Face à son manque de motivation et à ce tweet injurieux, il a finalement décidé de ne pas engager la jeune femme. Et comme une sorte de vengeance, il a utilisé Twitter pour lui faire savoir : « Non, tu ne commences pas ce pu**** de job aujourd’hui ! Je viens de te virer ! Bonne chance sans argent et dans ta vie sans travail ! ».
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Et pour accentuer le ridicule de la situation, il lui a envoyé un autre tweet : « Prendre des réservations, répondre au téléphone, faire des salades. Manger des pizzas gratuites. Comme ça aurait été dur ! ».
Une leçon pour la jeune femme qui, la prochaine fois, tournera peut être sept fois… son pouce avant de tweeter !
