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Le parti musulman fait machine arrière

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Le président du parti Union des musulmans de France (UDMF) l’a expliqué dans une interview au FigaroSous les «pressions» et faute de moyens financiers suffisants, Nagib Azergui est contraint de renoncer à sept candidatures sur huit aux départementales.

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« Il y a eu un déferlement médiatique malsain et diverses pressions, notamment sur des mécènes anonymes qui ont finalement renoncé à nous apporter leur financement », explique le président du parti qui accuse :  « il y a une vraie crispation sur le sujet en France mais ce sont des fantasmes nuisibles« .

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« Casser les caricatures de l’islam »

Nagib Azergui avpue qu’il ne s’attendait pas à un tel « déchaînement » et dénonce : « Jean-Christophe Cambadélis nous a comparés aux terroristes! C’est très grave pour la République. »

Pour autant, le président de l’UDMF ne s’avoue pas vaincu : « Cet éclairage médiatique a aussi permis à beaucoup de Français de nous connaître (…) Nous sommes là pour casser les caricatures de l’islam ».

Finalement, la seule candidature maintenue est celle de Marseille sur la liste conduite par Bruno Perez

 

 

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