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Poutine autiste ? C’est ce qu’affirme le Pentagone

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« […]trouble autistique qui pourrait affecter ses décisions«  (Crédit : Nickolay Vinokurov/Shutterstock)

Selon le quotidien américain USA Today, Vladimir Poutine serait atteint du syndrome d’Asperger.

Vladimir Poutine, autiste ?

Dans un rapport de 2008 et une étude de 2011, tous deux réalisés pour le Pentagone et que le quotidien américain s’est procuré, il est révélé que le président de la Fédération de Russie pourrait être atteint du syndrome d’Asperger, un « trouble autistique qui pourrait affecter ses décisions« .

Le rapport d’un think tank interne au Pentagone informe notamment que le développement de Poutine a été interrompu dans son enfance. Le choc aurait eu lieu alors que le président russe était encore dans le ventre de sa mère. Il pourrait être à l’origine de sa manière d’agir et de la façon dont il bouge le côté droit de son corps.

« Il compense son trouble par une prise de contrôle extrême qui se reflète dans son type de décision et dans la façon dont il gouverne« , rapporte Brenda Connors, experte de l’analyse des mouvements au Naval War College de Newport (États Unis) dans le rapport.

Rien d’officiel

Selon les chercheurs, cette théorie ne pourrait être prouvée que si Vladimir Poutine acceptait que l’on scanne son cerveau. Les experts manquent donc cruellement d’informations pour valider leur tir. Leur hypothèse ne serait à ce jour basée que sur l’observation des mouvements du président depuis les années 2000.

Visiblement sur la défensive dans les grands événements mondains, les résultats du comportement de Vladimir Poutine démontrent simplement que les responsables américains doivent trouver des lieux plus calmes pour engager une discussion avec le président.

« Si vous avez besoin de faire quelque chose avec lui, mieux vaut ne pas en faire une affaire d’État et plutôt le rencontrer en tête-à-tête dans un endroit tranquille« , affirme-t-on.

D’autres célébrités atteintes

Albert Einstein, Robin Williams ou encore Susan Boyle, d’autres célébrités ont déjà présenté des comportements similaires à ceux relevés chez le président russe. Susan Boyle avait d’ailleurs elle-même confié au Guardian être atteinte du syndrome en 2013.

« Cela m’a rendue plus déterminée à être celle que je voulais être« , avait-elle déclaré avant d’ajouter que sa différence l’avait souvent isolée des autres.

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