Site icon La Revue Internationale

Robert Mugabe ne renonce pas au pouvoir

Normal
0

21

false
false
false

FR
X-NONE
X-NONE

/* Style Definitions */
table.MsoNormalTable
{mso-style-name: »Tableau Normal »;
mso-tstyle-rowband-size:0;
mso-tstyle-colband-size:0;
mso-style-noshow:yes;
mso-style-priority:99;
mso-style-parent: » »;
mso-padding-alt:0cm 5.4pt 0cm 5.4pt;
mso-para-margin-top:0cm;
mso-para-margin-right:0cm;
mso-para-margin-bottom:8.0pt;
mso-para-margin-left:0cm;
line-height:107%;
mso-pagination:widow-orphan;
font-size:11.0pt;
font-family: »Calibri »,sans-serif;
mso-ascii-font-family:Calibri;
mso-ascii-theme-font:minor-latin;
mso-hansi-font-family:Calibri;
mso-hansi-theme-font:minor-latin;
mso-bidi-font-family: »Times New Roman »;
mso-bidi-theme-font:minor-bidi;
mso-fareast-language:EN-US;}

Robert Mugabe s’est adressé dimanche soir en direct à ses compatriotes sur l’antenne de la télévision d’Etat – sa première prise de parole depuis le coup d’état lancé par l’armée la semaine dernière. Le président âgé de 93 ans, exclu du parti au pouvoir plus tôt dans la journée, disposait de 24 heures pour renoncer à la présidence du pays sous peine d’être destitué par le Parlement. Aussi, tout le monde attendait l’annonce de son départ.

C’était mal connaitre le dirigeant africain – à la tête de son pays depuis l’indépendance, en 1980. « L’opération à laquelle j’ai échappée (…) n’a pas remis en cause mon autorité en tant que chef de l’État et commandant en chef de l’armée » a-t-il estimé, avant de critiquer « les messages contradictoires du gouvernement et du parti. »

Pour Chris Mutsvangwa, le chef de l’association des anciens combattants zimbabwéens, cette annonce est « déconnectée de la réalité ». « Nous irons jusqu’au bout », a-t-il assuré dimanche, estimant que Robert Mugabe n’avait plus qu’à démissionner et à quitter le pays : « Il essaye de marchander pour s’en tirer dignement, mais il devra s’y faire.

Quitter la version mobile