[image:1,f]
« Nicolas Sarkozy courtise l’extrême-droite alors que sa stratégie Vichy est critiquée » titre l’Irish Independent (Irlande).
[image:3,f]
Nicolas Sarkozy lutte pour sa survie politique estime le britannique The Independent, en constatant que, comme le président sortant, François Hollande courtise aussi les électeurs du Front National mais le candidat socialiste insiste en revanche sur le fait qu’il enverra, lui, « un message d’espoir, de confiance et d’unité nationale » pas « la peur et la division ».
[image:6,f]
Le quotidien espagnol ABC consacre deux pages à l’élection présidentielle française, dont une à Marine Le Pen « qui séduit les jeunes » et ajoute dans un encadré sur une colonne que les « 5 millions de musulmans français s’abstiennent ou votent contre Sarkozy ».
[image:4,f]
« L’extrême droite française, un défi pour l’Europe et Sarkozy » titre à la Une le Miami Herald (USA) qui remarque qu’Angela Merkel et d’autres leaders européens comme le ministre des Affaires étrangères suédois, Carl Bildt, se sont déclarés troublés par le niveau de popularité de l’extrême droite en France.
[image:2,f]
« Au revoir Monsieur Sarkozy » titre une analyse publiée dans la version anglophone du quotidien turc Zaman : « Quand Nicolas Sarkozy a été élu il y a cinq ans, il a promis un nouveau style de présidence (…) maintenant, cinq ans plus tard, on peut voir que les Français n’ont pas vraiment apprécié le changement que Mr. Sarkozy a mis en œuvre », avant de reconnaître ses mérites en matière de politique étrangère (cessez-le-feu entre la Russie et la Géorgie, intervention en Lybie, position ferme face à l’Iran) mais en soulignant qu’il aurait obtenu peu de résultats positifs en matière intérieure.
[image:5,f]
« Si Nicolas Sarkozy chute cela aura un impact profond en Europe » prédit l’éditorial du Times of India (Inde) en comparant le président sortant à Napoléon. Le quotidien considère que François Hollande est un socialiste de la vieille école dont la politique économique repose sur les impôts et les dépenses, et « qu’il rejette l’austérité ce que l’électeur aime entendre, mais donnera de mauvais résultats en matière économique ». Puis l’éditorial conclut en estimant que la France doit « se réinventer pour faire face à la pression de la globalisation plutôt que se retrancher dans la nostalgie de sa grandeur perdue ».