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Les Égyptiens sont appelés à se prononcer à l’occasion du référendum qui doit donner une constitution à l’Égypte, samedi 15 décembre.
Accusée par l’opposition de menacer les droits fondamentaux des Égyptiens, comme la liberté d’expression ou la liberté de religion, le projet de loi fondamentale suscite l’inquiétude d’une partie de la population.
L’opposition, constituée de nombreux mouvements de laïcs, libéraux, nassériens ou encore de chrétiens coptes, compte bien se battre jusqu’au bout pour empêcher les islamistes de lui « voler » sa révolution.
Référendum égyptien : ultime mobilisation de l’opposition
Opposants et partisans du président Mohamed Morsi et de la constitution pour laquelle les Égyptiens sont appelés à se prononcer, samedi 15 décembre, s’engagent dans une dernière ligne droite avant que la loi fondamentale de la nouvelle Égypte ne soit définitivement gravée. > Lire la suite de l’article
« Les Frères musulmans auront du mal à dompter l’esprit de la révolution »
Il n’aura fallu qu’un décret présidentiel, aujourd’hui annulé, pour réveiller l’opposition au pouvoir des Frères musulmans en Égypte. Cette opposition, composée de divers mouvements qui, il n’y a pas si longtemps, combattaient dans des camps opposés, est désormais en ordre de bataille… > Lire la suite de l’article
L’opposition égyptienne appelle à voter « non » au référendum
L’opposition égyptienne a déclaré qu’elle arrêtait de boycotter le référendum controversé demandé par le président Mohamed Morsi au sujet de la nouvelle constitution égyptienne. Mais elle a appelé les électeurs à ne pas soutenir le projet de constitution. > Lire la suite de l’article
Mohamed Morsi donne tous pouvoirs à l’armée contre les manifestants
L’Égypte se place entre les mains de l’armée. Par un décret présidentiel, le président islamiste Mohamed Morsi a donné tous pouvoirs à l’armée pour qu’elle procède à l’arrestation de civils et ce, jusqu’à la proclamation des résultats du référendum portant sur la constitution. > Lire la suite de l’article
Mohamed Morsi annule le décret du 22 novembre
Le chef de l’État égyptien Mohamed Morsi a annoncé samedi 8 décembre qu’il annulait le décret du 22 novembre, qui élargissait ses pouvoirs, face à la pression de la rue. Il a cependant maintenu le référendum du 15 décembre sur la nouvelle Constitution. > Lire la suite de l’article