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Tour d’horizon de l’homophobie dans le monde

[image:1,l]Samedi 30 juin à Paris. Des centaines de milliers de Parisiens, homosexuels ou pas, défilent, de Montparnasse à la Bastille, pour revendiquer, une fois de plus, l’égalité des droits et rappeler à ses promesses le nouveau Président de la république, François Hollande. L’égalité, le droit au mariage et à l’adoption, un droit peut-être mais une revendication qui ne doit pas faire oublier la situation privilégiée – même si rien n’est jamais parfait – que connaissent en France et dans le reste de l’Occident les homosexuels, gays, lesbiennes, bisexuels, transexuels. Ailleurs, tout n’est pas rose…

Pas facile d’être gay ou lesbienne au royaume de Mohammed VI

Le Maroc est souvent considéré comme l’un des pays musulmans les plus libéraux. Les signes d’affection entre filles sont d’ailleurs choses communes. Certaines se promènent main dans la main, d’autres se font la bise entre copines. Mais quand cette affection devient romantique, et que les femmes veulent vivre ouvertement, en tant que lesbiennes, les Marocains font subitement preuve de bien moins de tolérance. >> Lire la suite de l’article

La double peine des gays palestiniens

La célèbre chanson « I will survive » de Gloria Gaynor n’est jamais bien loin dans les milieux gays. Mais cette nuit, elle a une saveur toute particulière. Car, dans cette discothèque située dans un quartier mixte où se rencontrent la ville arabe de Jaffa et les banlieues de Tel-Aviv, les paroles ne résonnent pas en anglais, mais en arabe. >> Lire la suite de l’article

Certes, le conflit rythme toujours la région, ce sanglant et complexe contentieux lié autant aux territoires qu’à l’Histoire et à la religion. Mais, à la « Palestinian Queer Party », la musique prend le pas sur la guerre et la paix règne sur la salle.

Porter le triangle rose : un crime en Russie ?

Il y a deux semaines, alors que je me demandais si j’allais épingler un triangle rose sur le revers de mon gros manteau noir, Sergei Kondrashov se fait arrêter dans les rues de la capitale du nord de la Russie, avec dans les mains un panneau indiquant : «  Une très bonne amie de ma famille est lesbienne. Ma femme et moi l’aimons beaucoup et la respectons tout autant. Sa famille est à l’égal de la nôtre. » >> Lire la suite de l’article

Gays et lesbiennes, victimes de l’homophobie en Europe

« Les autorités croates et bulgares doivent prendre les mesures nécessaires pour lutter contre ces crimes et poursuivre leurs auteurs de façon systématique » précise Geneviève Garrigos, présidente d’Amnesty International France« Aucune personne ne devrait être victime de violence en raison de ses origines, de sa religion, de son orientation sexuelle ou de genre. C’est un des principes fondamentaux des droits humains.»

Dans ces deux pays, les personnes LGBTI courent le risque d’être agressées physiquement, uniquement en raison de leur orientation sexuelle ou de leur identité de genre réelle ou supposée. En Ukraine, fin mai, la Marche des fiertés de Kiev a tout simplement été annulée. A l’est de l’Europe, sur le front de la lutte contre l’homophobie, rien de nouveau >> Lire la suite de l’article

G. Garrigos:« Amnesty, fière de lutter contre l’homophobie »

Amnesty International combat toutes les formes de discriminations à travers le monde. Les discriminations sexuelles ou de genre sont, aujourd’hui, une des préoccupations majeures de l’association. A l’occasion de la Marche des fiertés, la Gay pride parisienne, sa présidente,Geneviève Garrigos répond aux questions de JOL Press. >> Lire la suite de l’article

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