Depuis l’entame officiel de la campagne interne aux partis, notamment celle concernant le parti socialiste, les frasques et attaques relayées, par les médias et nourris par l’adversité, lévent le voile sur les véritables dessous d’un processus de désignation officielle, à l’issue duquel, les primaires, bien évidemment, le candidat ou la candidate désigné(e), se verra porter à la fois les couleurs du parti, défendre son programme et essayer de remonter très haut, la barre de l’espérance, qui s’est éclipsée, sous le poids des injonctions et érodée par l’inobservance, d’une règle énoncée pour pallier à une divergence préjudiciable à la cohésion et à l’unité, et sans lesquelles, prévenir ou rémédier à toutes vélléités hypothétiques de déchéance future, se révéleraient, comme une inaptitude à anticiper, tout en éludant, la gestation en amont de la butte à l’origine d’un manque de tact en temps réel.
Ainsi, de part et d’autre, on affûte les solutions qui rassemblent, ausculte l’électorat, tout en avançant avec la ferme volonté de chaque côté, de transcender les débats à connotation ubuesques, à relents non forcement élucubrés, mais sufisamment occultent, pour qu’ils fassent, l’objet d’insinuations, et d’analyses des médias qui se ruent à ce rythme, sur l’information comme une bouffée d’oxygène dans une chambre à gaz.