Alors que la capitale cambodgienne ne cesse de s’agrandir, la terre devient un luxe à Phnom Penh, et ce sont souvent les pauvres qui paient le prix du développement « haut de gamme » de la ville. À l’occasion de la venue du président américain, certains Cambodgiens, qui peinent à se faire entendre sur la scène médiatique, en ont profité pour exprimer leur colère en brandissant des photos et en lançant des « SOS ».
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Plus de 400 000 personnes ont été expulsées de leurs foyers cambodgiens ou ont vu leurs terres confisquées depuis 2003, selon des organisations locales de défense des droits de l’homme. Les Cambodgiens espèrent que la visite de Barack Obama apportera des réponses aux questions relatives aux droits de l’homme, qui sont au premier plan diplomatique.
Retour en images sur cette « Obamania » cambodgienne :
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GlobalPost / Adaptation : Anaïs Lefébure pour JOL Press
