Invitée dans l’émission « C à vous » sur France 5 jeudi soir, la compagne de François Hollande s’est livrée sans concessions sur sa vie de Première dame, son enfance et sa relation avec le président. Une opération séduction, pendant laquelle Valérie Trierweiler a déclaré avoir « tiré les leçons » de la fameuse affaire du tweet.
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Jeudi 27 juin, Valérie Trierweiler était l’invitée d’Alessandra Sublet dans l’émission « C à vous » sur France 5.
Confessions intimes
Pendant l’émission, la première dame s’est dévoilée sur sa vie privée, revenant sur son enfance « heureuse » à Angers avec ses cinq frères et sœurs et sur son adolescence où, sur sa mobylette, elle chantait « Une belle histoire » de Michel Fugain – qu’elle a tenu à chantonner sur le plateau.
Mais elle s’est également attardée sur son rôle de mère, que les gens ont « souvent tendance à oublier ». « S’il y a une chose qui me définit, c’est ça. Je ne suis pas que Valérie, pas que la compagne du président de la République. Je suis avant tout une mère », a-t-elle tenu à rappeler.
Et en tant que « mère tigresse » comme elle se décrit, elle avoue avoir ses enfants « dix fois par jour au téléphone », et gérer encore le linge sale de ses fils. Même si « les grands prennent un peu d’autonomie car ils veulent vivre leur vie ».
« C’est un très joli mot, compagne »
À la question d’Alessandra Sublet sur l’intention du président de la demander en mariage, elle a tout simplement rétorqué : « Qu’est-ce que cela change ? », ajoutant que, dans la Marseillaise, on chantait bien : « …qui viennent égorger nos fils et nos compagnes. […] On ne parle pas d’épouse, on parle de compagne. C’est un très joli mot, parce qu’on accompagne. Je trouve qu’il n’y a pas de plus joli mot ».
« On est ensemble parce qu’on s’aime, pas parce qu’on est obligés de rester ensemble », a-t-elle ajouté.
« J’ai tiré les leçons »
Revenant sur l’affaire du tweet de soutien au candidat dissident Olivier Falorni – principal adversaire de Ségolène Royal à La Rochelle en juin 2012 –, qui avait fait scandale, Valérie Trierweiler a répondu en déclarant que « sur Facebook, on a des amis, sur Twitter on a des ennemis », ajoutant qu’elle avait « tiré les leçons » de toute cette affaire, et qu’elle s’appliquait désormais à relire ses tweets avant de les publier.