Yaritza Oliva est une jeune femme de 20 ans qui a la particularité de pleurer du sang, plusieurs fois par jour. L’étrange maladie dont elle serait atteinte s’appelle « haemolacria », littéralement, « larmes de sang ». Une maladie dont les causes sont toujours nconnues.
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Depuis un mois, l’histoire de cette Chilienne de 20 ans a déjà fait le tour de l’Amérique Latine. Car depuis un mois, Yaritza Oliva est victime d’étranges symptômes : elle pleure des larmes de sang.
Pleurer du sang plusieurs fois par jour
Ces phénomènes ont donc commencé il y a environ un mois. Lorsque les premières larmes suspectes ont coulé, plusieurs fois par jour, la jeune femme a consulté un médecin généraliste qui, déconcerté lui a prescrit de simples gouttes pour les yeux, et ce afin de soulager la douleur « indescriptible » dont affirma alors souffrir Yaritza Oliva.
Après cette première consultation, la jeune femme a également demandé l’avis de plusieurs spécialistes qui ont exclu l’hypothèse d’une infection oculaire ou d’une conjonctivite.
Or à ce jour, aucun diagnostic officiel n’a été prononcé.
Une étrange maladie
Dans la famille de Yaritza Oliva, un diagnostic a déjà été établi. La jeune femme souffrirait de cette très rare maladie qu’on appelle « haemolacria », ou « larmes de sang ».
Une maladie que les médecins de la famille sont dans l’incapacité de traiter et c’est pour cette raison que les parents de Yaritza Oliva ont lancé un vaste appel aux dons afin de permettre à leur fille d’être auscultée par un spécialiste qui saura se charger de ce cas rare.
Un précédent cas en 2009
En 2009, un précédent cas d’ « haemolacria » avait été détecté dans le Tennessee. Calvino Inman, alors âgé de 15 ans, pleurait également du sang, trois fois par jour.
Ses parents, déconcertés devant cette étrange maladie, avaient également lancé un appel aux dons sur un plateau de télévision.
Mais l’haemolacria est une maladie si rare que les dernières études sur le sujet datent des années 70. Et si les conséquences de cette étrange maladie sont bien visibles, les causes, elles, restent toujours inconnues.
