Alors que le gouvernement s’apprête à mettre en place une taxe pour les propriétaires (lire ici), voici que les prix de l’immobilier augmentent de leur côté.
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Deux éléments qui ne vont pas permettre une embellie sur un marché qui résiste, difficilement, aux effets de la crise économique.
Une augmentation des prix de l’ancien contrastée
Ainsi le prix des logements anciens en France a augmenté de 0,2 % au deuxième trimestre, par rapport au trimestre précédent. A noter que sur une période d’un an, il a reculé de 1,1 %, selon les informations de l’indice Notaires-Insee. C’est la seconde hausse trimestrielle consécutive depuis la mi-2011.
Mais dans le détail, les choses sont plus contrastées. Le prix des appartements a baissé, lui, de 0,2 % tandis que celui des maisons a augmenté de 0,5 %. La baisse moyenne, sur un an, de 1,1 %, concerne à la fois ces deux types d’habitation bien qu’elle ait été d’un ampleur plus importante pour les appartements (-1,2 %) contre -1 % pour les maisons.
Immobilier : les prix baissent à Paris, augmentent en province
En région parisienne, la tendance est également à la baisse avec un effondrement des prix de 1,2 % sur un an. Les tarifs des appartements ayant baissé de 0,7 %, et ceux des maisons de 0,3 %. En province en revanche, les prix de l’ancien ont grimpé de 0,6 % pour le second trimestre, après six trimestres consécutifs de baisse. Sur un an toutefois, on reste sur une tendance à la baisse, de 1,1 %.
Côté transactions enfin, elles sont en hausse de 2,9 % au second trimestre par rapport au premier. Sur un an, toutefois, les transactions immobilières connaissent elles aussi une accalmie avec -13,1 % sur les douze derniers mois.
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