Bien qu’elles ne soient que des personnages imaginaires, les mascottes ont depuis toujours eu une certaine importance au sein des compétitions sportives, on attend d’elles de représenter les valeurs du sport qu’elles incarnent et l’esprit du pays d’accueil de la compétition.
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Footix, le coq
On se souvient tous de Footix, la mascotte bien française, égérie de la Coupe du monde de football 1998 qui se déroulait en France et fût remportée par les « Bleus » (« Cocorico ! ») D’ailleurs, le « cocorico » était alors de rigueur, car Footix était un coq, et bien qu’il soit bleu, dressé sur ses pattes arrière et possède bras et mains il n’en est pas moins symbole de la France.
Fuleco, le tatou
Pour la 20ème édition de la Coupe du monde de la FIFA, c’est le Brésil qui a été choisi comme pays d’accueil. Afin de sensibiliser le monde aux problèmes écologiques qui touchent le pays, le Brésil a choisi pour mascotte un tatou à trois bandes, une espèce en voie de disparition.
Son nom ? Fuleco, un regroupement des mots « futebol » (football) et « ecologia » (écologie).
Un militant écolo
La carapace de Fuleco est bleue, de façon à représenter le ciel et les eaux brésiliennes, clin d’œil ici aussi à l’environnement.
Non content de représenter le Brésil et de transmettre un message de sensibilisation fort, Fuleco a également son propre site internet http://fr.mascot.fifa.com/index.php et sa page Facebook. https://www.facebook.com/2014fuleco?fref=ts . De quoi rendre le bleu Footix vert de jalousie, ou d’écologie.