Depuis plusieurs mois déjà, les électeurs tunisiens ne se pressaient pas pour s’inscrire sur les listes électorales. Pour ces élections législatives du 26 octobre, comme pour l’élection présidentielle qui suivra quelques semaines plus tard, ils devraient être nombreux à n’être qu’observateurs d’un scrutin pourtant déterminants pour la transition politique de la Tunisie, quatre ans après la révolution.
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Le taux de participation, l’autre enjeu des élections tunisiennes
Les Tunisiens ne semblent pas pressés devant l’échéance des élections législatives. Ce 26 octobre, ils devraient être peu à se déplacer jusqu’à leurs bureaux de vote et ce malgré la gravité du moment. En effet, les Tunisiens s’apprêtent à sceller le sort de leur pays après quatre ans d’une lente…> Lire la suite de l’article
En Tunisie, l’abstention pourrait propulser les islamistes au Parlement
Entretien avec Pierre Vermeren, historien du Maghreb contemporain. Il est professeur à l’université Paris 1 Panthéon-Sorbonne.
Les Tunisiens sont désenchantés. Alors qu’ils s’apprêtent à élire librement…> Lire la suite de l’article
Elections législatives: la jeunesse tunisienne n’ira pas voter dimanche
Chômage, corruption, insécurité. Les maux de la société tunisienne postrévolutionnaire attaquent la jeunesse de plein fouet. Et puisqu’ils ne trouvent aucune réponse dans le champ politique, les jeunes électeurs tunisiens seront nombreux à ne pas aller voter dimanche 26 octobre.> Lire la suite de l’article
Les Tunisiens souffrent de désenchantement démocratique
Entretien avec Béligh Nabli, directeur de recherche à l’Institut de relations internationales et stratégiques et spécialiste des mutations du monde arabe.
Trois ans quasiment jour pour jour après l’élection de l’Assemblée nationale…> Lire la suite de l’article