Des cicatrices à vie pour un Starbucks mal servi : une étudiante porte plainte et réclame des millions !

Un incident grave au drive-in de Los Angeles

En 2022, ce qui devait être une simple commande de thé s’est transformé en cauchemar pour Saba Lily Shabdiz. Cette étudiante de l’Université de Californie du Sud s’est rendue au drive-in d’un Starbucks de Los Angeles pour commander un thé Jade Citrus Mint. Un incident qui soulève des questions importantes sur la sécurité des consommateurs dans la restauration rapide.

Des brûlures aux conséquences dramatiques

L’incident s’est produit lorsque le couvercle du gobelet s’est détaché de manière inattendue, déversant sur la cliente un thé chauffé à environ 210 degrés Fahrenheit.

Les conséquences ont été sévères : des brûlures graves ont laissé des cicatrices permanentes, sans compter le traumatisme émotionnel subi par la victime. Un drame qui aurait pu être évité selon les arguments de la plaignante.

Une négligence présumée au cœur du débat

La plainte déposée devant la Cour supérieure de Los Angeles met en cause plusieurs aspects de la responsabilité de Starbucks. Selon l’avocat Sam Ryan Heidari, l’entreprise aurait failli à plusieurs niveaux : formation insuffisante du personnel, supervision inadéquate et choix discutables concernant les températures de service et les contenants utilisés.

La plaignante souligne particulièrement le manque de réactivité face aux incidents similaires précédents.

Un précédent qui interpelle

Ce n’est pas la première fois que la chaîne fait face à ce type de poursuites. L’affaire met en lumière un problème récurrent dans l’industrie de la restauration rapide : l’équilibre délicat entre service rapide et sécurité des consommateurs.

La température élevée des boissons servies (210°F) est particulièrement pointée du doigt comme facteur de risque.

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Une attente de responsabilisation

Face à cette situation, la victime réclame des dommages et intérêts dont le montant n’a pas été précisé. Le silence actuel de Starbucks sur l’affaire ne fait qu’amplifier les interrogations sur sa politique de sécurité.

L’avocat de la plaignante insiste sur la nécessité pour l’entreprise de revoir ses protocoles de service et ses standards de sécurité.

Conclusion

Cette affaire dépasse le simple cadre d’un incident isolé pour soulever des questions fondamentales sur la responsabilité des grandes chaînes de restauration rapide.

Elle met en lumière l’importance d’un équilibre entre efficacité commerciale et sécurité des consommateurs, rappelant que la prévention des risques devrait toujours primer sur les considérations de rapidité de service.

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