Obsédée par la mode et la beauté, cette maman de 47 ans utilise le sang de son fils pour… rester jeune

La quête controversée de l’éternelle jeunesse

À Los Angeles, Marcela Iglesias, une mère de 47 ans, fait parler d’elle pour sa démarche inhabituelle dans sa quête de jeunesse éternelle. Après avoir déjà investi des sommes considérables dans des soins cosmétiques, elle s’apprête à franchir une nouvelle étape en utilisant le sang de son propre fils pour tenter de rajeunir.

Un investissement colossal dans la beauté

Cette Américaine consacre mensuellement près de 1000 euros en soins cosmétiques divers, des vitamines aux crèmes anti-âge.

Son parcours esthétique inclut déjà de nombreuses interventions, notamment des injections de botox et des peelings chimiques, pour un montant total dépassant les 103 000 euros.

La parabiose : une pratique controversée

Sa nouvelle approche, la parabiose, consiste à recevoir une transfusion du sang de son fils de 23 ans. Cette technique, qui évoque l’univers des vampires, n’a pourtant aucun fondement scientifique prouvé.

Malgré cela, Marcela recherche activement un médecin à Los Angeles pour réaliser cette procédure.

Un projet familial surprenant

Le plus étonnant dans cette histoire est l’enthousiasme de son fils Rodrigo, qui non seulement accepte de donner son sang à sa mère, mais envisage également d’en faire profiter sa grand-mère.

Marcela est convaincue des bienfaits potentiels des transfusions sanguines sur l’oxygénation et la régénération cellulaire.

Un mode de vie strict au quotidien

Au-delà de ces méthodes controversées, Marcela suit un régime alimentaire rigoureux, excluant soja, alcool et sodas.

Elle maintient également une routine stricte incluant une heure quotidienne d’exercice physique et huit heures de sommeil, ce qui contribue à son apparence juvénile remarquée.

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Conclusion

Cette histoire illustre jusqu’où certaines personnes sont prêtes à aller dans leur quête de jeunesse éternelle, même si cela implique des pratiques non validées scientifiquement et potentiellement risquées.

Elle soulève également des questions éthiques sur les limites de la médecine esthétique et notre rapport à l’âge dans la société moderne.

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